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Comme chaque année, ce samedi 7 juin, Chartres a été pris d’assaut par quelques 5300 pèlerins. Venus des quatre coins de la France mais aussi d’Irlande, d’Allemagne, de Suisse, du Canada ou d’autre pauys, ils se sont élancés après la messe sur les routes de la Beauce en direction de Paris.
« Le combat de la Fraternité Saint Pie X est un combat pour l’Église »
Le Pèlerinage a commencé à 7h45 avec une messe célébrée sur l’esplanade de la cathédrale par Monsieur l’abbé Gabriele d’Avino, le supérieur de district d’Italie. « Aujourd’hui plus que jamais, si nous voulons rendre un service à l’Église, c’est à cet esprit libéral que nous sommes appelés à mettre un frein » a souligné le célébrant lors de son homélie, rappelant toujours avec un brin d’espérance « Aucune crise ne peut effacer ou obscurcir la vie de l’Église si nous ne le lui permettons pas. »
Des pèlerins accueillis par une pluie… de grâces
À 10 h, après la traditionnelle bénédiction des bannières, les chapitres enfants se sont dirigés vers les cars qui les ont menés à leur point de départ tandis que la colonne des adolescents et des adultes partait à l’assaut des 40 km du jour. Manque de chance, la pluie était au rendez-vous pour les premiers kilomètres et il n’a pas fallu longtemps avant de sortir les premiers manteaux. Mais comme le mentionnent si bien les pèlerins optimistes : « Toute la pluie qui tombe maintenant ne tombera pas plus tard ! »
Mais heureusement seuls les nuages gris ont suivi la colonne pour le restant de la journée.
Le sermon en vidéo
Les images de la journées
Crédit photos : Isaure Dupont Cariot, Maxence Malherbe, Jean Lorber, Gilles Bellemans, Soline Grellier
Quelques courtes vidéos
Crédit vidéos : Louis Guénamant et Flavie Gauche
Suite du reportage
Première partie de la journée du dimanche au pèlerinage de Pentecôte 2025
Table des matières Après une marche de 42 km dans la Beauce, les pèlerins ont été accueillis samedi soir en musique sur le bivouac des Greffiers. Les marcheurs ont vite retrouvé leurs habitudes entre rencontres inattendues et bien sûr le dîner tant attendu. L’averse qui s’est abattue sur le bivouac